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vivre un beau careme avec ses enfants

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Premières sorties avec bébé, ce qu’il ne faut

Premières sorties avec bébé, ce qu’il ne faut surtout pas oublier 🐣⁠
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Fini le temps où vous sortiez les mains dans les poches, le nez au vent. Maintenant, vous avez un bébé. Et qui dit bébé, dit logistique. Petit à petit, on s’y fait et on devient même experte. Pour vous aider dans vos premières sorties avec bébé, on vous livre nos astuces d’organisation et nos indispensables à avoir toujours avec soi.⁠
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Premières sorties avec bébé : le quotidien ⁠
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🍼De l’eau en bouteille et du lait en poudre : même si vous sortez entre deux repas, il est plus sécurisant d’avoir dans son sac au moins de quoi faire un biberon. ⁠
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💧Un biberon d’eau : on a tendance à l’oublier car les bébés ne savent pas dire qu’ils ont soif. Si vous lui proposez régulièrement, vous verrez qu’il boira volontiers. Imaginez-vous passer une après-midi sans boire une goutte d’eau… C’est la même chose pour lui !⁠
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👗Une tenue de rechange : c’est indispensable quel que soit l’âge de votre bébé. Une fuite de couche est si vite arrivée.⁠
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Retrouvez la suite de l'article sur Maman vogue (lien dans la bio)⁠
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Et vous, quels ont été/sont vos indispensables pour sortir bébé ? ⁠
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📸@photographybycassy_⁠
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Il y a des matins comme ça... Qui se reconnait ?

Il y a des matins comme ça... Qui se reconnait ? 😂⁠
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✍🏻@pauline.perrolet⁠
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#illustration #maman #viedemamans #jumeaux #twins

« L’enfant du milieu », astuces pour l’aider

« L’enfant du milieu », astuces pour l’aider à trouver sa place ⁠
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Chez Maman Vogue, nous n’aimons pas trop les étiquettes. Cependant, force est de constater que « l’enfant du milieu » a parfois plus de difficultés que ses frères et sœurs à trouver sa place. Voici quelques astuces pour l’accompagner.⁠
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Ménager une place unique⁠
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Ni l’aîné, ni le benjamin, le milieu se définit trop souvent en relatif aux autres positions dans la fratrie. L’enfant positionné au milieu reçoit des sobriquets peu reluisants comme « enfant sandwich » par exemple. Pourtant, l’arrivée de chaque enfant est unique et chaque place existe en tant que telle. Comme dans une équipe, chaque enfant apporte sa couleur à une fratrie, quelle que soit sa place.⁠
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Décoller les étiquettes⁠
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On a tendance à justifier certains attributs et comportements des enfants par leur place dans la fratrie. « Oh lui c’est un aîné donc il est autoritaire », « elle est au milieu, elle cherche beaucoup l’attention ». Il est indéniable que nous nous définissons toujours par rapport aux autres. Que l’on soit enfant ou adulte, l’autre est un miroir. Ce n’est cependant pas une raison pour coller des étiquettes sur les comportements de nos enfants. Cela reviendrait à dire que deux aînés ont des personnalités similaires, que leurs comportements ne sont compréhensibles que parce qu’ils sont dictés par leur position par rapport à leurs frères et sœurs. ⁠
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Retrouvez la suite de l'article sur Maman vogue (lien dans la bio)⁠
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Et vous, vous trouvez que votre "enfant du milieu" a eu du mal à trouver sa place dans la fraterie ? ⁠
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📸 @cloth⁠
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#fraterie #famille #enfants #freresoeur #soeurs⁠

« J’ai accouché sans mon mari »⁠ ⁠ Je sui

« J’ai accouché sans mon mari »⁠
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Je suis femme de militaire. Comme un rite de passage, une épreuve à passer, une case à cocher, beaucoup de « femmes de mili » vivent seule la naissance de leur enfant. Il y a quelques mois j’ai vécu cette épreuve à mon tour.⁠
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Dès le début de ma grossesse, j’ai su que mon terme tombait sur une période où mon mari serait à l’étranger pour quelques semaines. De nature relativement sereine, j’ai essayé de ne pas me focaliser sur cet accouchement seule, me rassurant en pensant que notre corps de femme est fait pour donner la vie, et que l’équipe médicale serait là pour m’accompagner. Néanmoins, l’organisation du départ à la maternité, seule, avec deux enfants à caser me stressait un peu. Heureusement, beaucoup d’amies m’ont proposé leur aide, et je pense que dans certaines situations il faut savoir humblement accepter l’aide proposée.⁠
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Arrive le jour J. Dans la matinée, je ressens les premières contractions, régulières mais espacées et assez faibles. Après avoir fait garder mes enfants, je demande à une amie de m’accompagner à la maternité, pour savoir où en est le travail. Après quelques contrôles, les sage-femmes m’annoncent que celui-ci a commencé, mais que la naissance n’aura peut-être pas lieu avant le soir, voire le lendemain. Je leur précise que je souhaite la péridurale, même s’il est trop tôt pour la poser. Mon amie reste avec moi ; nous discutons gaiement de tout et de rien tandis que je gère comme je peux les contractions, de plus en plus fortes. ⁠
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Retrouvez la suite de l'article sur Maman vogue (lien dans la bio) ⁠
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Des mamans qui ont du accouché sans leur mari ? Comment vous l'avez vécu ? ⁠
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📷 @lifeofriverandiluka_⁠
✍🏻 @alicechal⁠
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#accouchement #femmedemili #femmedemilitaire #bebe

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